« L’insatisfaction corporelle représente 90% des femmes et 70% des hommes »
Ils font une fixation négative sur une partie de leur anatomie. Des petits seins, un ventre trop rond, un sexe de petite taille… La certitude de leur disgrâce est si profondément ancrée dans leur tête, qu’il est inutile de chercher à les convaincre que ce ventre détesté peut être une rondeur sensuelle pour le partenaire.
L’apparence physique pèse lourdement sur le regard que nous portons sur nous.
Le moindre défaut physique est amplifié et gâche nos chances d’être heureux et de mener une vie épanouie.
Le culte de l’apparence ne facilite pas une relation apaisée avec notre corps.
L’angoisse d’être abandonnée, la peur de vieillir, peut exprimer une souffrance ancienne, un manque d’amour et de soutien parental durant l’enfance.
La souffrance est réelle et s’installe à la puberté. Ce n’est jamais simple de se débarrasser d’un mal être lié à une insatisfaction corporelle.
On peut mettre des années à vivre en paix avec ses défauts physiques mais un déclic peut remettre tout en question du jour au lendemain.
Inconsciemment la plupart du temps des forces en nous travaillent en souterrain : Un projet excitant, une rencontre amoureuse, des gratifications personnelles, une carrière épanouissante, des activités physiques et sensorielles peuvent modifier la relation que l’on a avec notre corps et permettent une réconciliation en douceur avec nous-même et peuvent parfois venir renforcer l’estime de soi.
Dans le cadre de la thérapie, arrêtez de vous observer, arrêtez de souffrir et de perdre du temps avec ces pseudos-défauts que les autres ne verraient pas si vous n’en parliez pas !